A lire…
Un projet qui me tenait à cœur… Ce petit journal semestriel de 16 pages n'aura connu qu'un numéro, en 2005…
Orléans (Jacob l'aîné), an VII.
A. J. Mont-Fleury (1639-1685), Le gentilhomme de Beauce , comédie, 1670.
A Paris, chez Jean Ribou, au Palais, vis-à-vis la porte de l'eglise de la Sainte Chapelle, à l'Image S. Loüis. M. DC. LXX. Avec privilege du Roy.
• Jacques Soyer, La Beauce ancienne, Le peuplement et la mise en valeur de la Beauce, d’après la toponymie, Blois, Editions du Jardin de la France, 1943, in-16., 48 p.
Albert Dauzat en fit une très intéressante critique dans Le Français Moderne, 1er octobre, 1944, pp 73-80. Je crois bon de vous la donner :
« Cette brochure est consciencieusement documentée, comme tous les travaux de notre collaborateur. Mais l’auteur tire-t-il toujours de ses matériaux des déductions exactes ?
D’une manière générale, ses conclusions relatives à la préhistoire et à l’époque gauloise ne m’ont pas semblé convaincantes. Pour l’époque gallo-romaine, en revanche, il apporte des éléments qui méritent d'être pris en considération.
Critiquant un chapitre de mon livre La toponymie française (dans lequel je crois avoir démontré que la Beauce fut jadis couverte, en majeure partie, de forêts, et que le défrichement progressif, amorcé par les Gaulois, commencé par les Romains, fut poussé sous la monarchie franque et à peu près achevé à l’époque féodale), — M. Soyer à la fin de son exposé, conclut, au contraire, de façon simpliste (p. 39) : « La Beauce est apparue à nos plus lointains ancêtres comme elle nous apparaît aujourd’hui : une vaste étendue de terrain plat et découvert, une région claire, qui est depuis l’époque gauloise le pays à blé par excellence. La forêt beauceronne est un mythe. »
Voilà qui est bientôt dit ! Point de vue statique, qui a été longtemps celui de trop de géographes, méconnaissant l’évolution constante du paysage, sous l’effort combiné du travail humain et des lois naturelles. M. Soyer ne fait aucune allusion au dessèchement progressif dont j’ai parlé et qui explique comment telle vallée jalonnée de dolmens a pu être abandonnée par la suite. Aucune allusion non plus aux conclusions des géobotanistes, qui, s’appuyant sur des données scientifiques, ont, par une autre méthode, restitué les mêmes essences forestières en Beauce que la toponymie : résultat convergent de méthodes différentes, qui ne saurait être l’effet du hasard.
Qu’il y ait eu, en Beauce, une forêt à clairières, ou des forêts séparées, c’est sans doute une question de date. M. S., qui le premier a trouvé l’étymologie Voves = forêt (gaulois vidua), au cœur de la Beauce, dans une plaine actuellement nue, et qui connaît mieux que personne les Lutz (lucus), Gault (germ. wald) et Bellesauve (bella silva), est bien forcé d’admettre l’existence ancienne d’ « îlots boisés », là où tout groupe d’arbres a disparu ; mais il s’efforce de minimiser l’importance des nombreux noms collectifs attestés par la toponymie (Boulay, Châtenay, Fresnay, Tillay...), en supposant qu’il s’agissait de plantations faites par des propriétaires gallo-romains. Conjecture gratuite, que n’étaie aucun témoignage historique, et qui est bien invraisemblable : conçoit-on la fantaisie d’un propriétaire de cette époque qui aurait fait amener de loin, pour les planter dans une plaine nue, tout un lot de bouleaux ou de châtaigniers ? Le châtaignier surtout suppose une ambiance d’humidité et de fraîcheur pour pouvoir vivre : conditions qui étaient réalisées dans certaines parties de la Beauce avant le dessèchement et le défrichement.
Même si l’on admet — et je veux bien le concéder — que ce défrichement a été un peu plus poussé par les Romains que je ne l’ai indiqué, la Beauce n’était certainement pas, à l’époque gallo-romaine, le grenier à céréales quelle est devenue depuis. Camille Jullian (Hist. de la Gaule, V, 181) a eu beau fouiller les textes : en dehors du passage de César (Comm., VII, 3, 1 ; qui déclare avoir choisi Orléans comme centre de ravitaillement, en blé de son armée en campagne), il n’a trouvé aucun témoignage relatif aux blés de Beauce, alors que ces témoignages abondent pour d’autres régions : les blés de Gaule les plus renommés étaient ceux d’Aquitaine, en particulier du Toulousain (Jullian, loc. cit., et 182, n. 1), du Comtat, de la Limagne (Sidoine Apollinaire, Salvien), de la Bourgogne (Claudien, Grégoire de Tours), de la Brie, du Soissonnais (Fortunat). Pas un mot de la Beauce.
Et voici, en sens contraire, pour une époque postérieure, un passage assez caractéristique. Je l’extrais du poème latin d’Abbon sur le siège de Paris par les Northmans (fin du IXe s.). Aux vers 598-600, l'auteur situe sa description : les pillards franchissent la Seine et se dirigent vers la Loire, parcourant la région entre les deux fleuves (cad. la Beauce) et y faisant un butin que cette région, personnifiée, décrit dans les vers suivants :
« Les paroles ne sauraient suffire pour dénombrer les hommes, les chevaux, les brebis, les bœufs et les porcs qu’ils m’ont dérobés. Le bêlement des agneaux faisait retentir mes fleuves. Mes prés au riche gazon et mes vallées résonnaient du mugissement profond des jeunes taureaux, mes bois faisaient écho au cri rauque des cerfs. Les grognements des sangliers déchiraient les forêts... »
Prés, bois, forêts, vie pastorale : aucune allusion aux céréales, aux labours, aux moissons.
Revenons aux considérations purement toponymiques. M. Soyer fait état de soixante noms celtiques, en Beauce, qui correspondraient à des habitats gaulois. Ce nombre doit être fort réduit.
C’est par erreur qu’y figurent Pithiviers (Petuarius) et Ecoman (Escament, 1272) : les suffixes -arius, -mentum ne peuvent appartenir à des formations gauloises, mais gallo-romaines, et le second nom (offrant c + a) doit être plus tardif. De même Acquebouille (Escoboliae, 1142) représente le même nom de personne (au suffixe près) que Villacoublay, ancienne Ville Escoblein, nom sans doute germanique. Rien ne fait présumer que Verdes soit gaulois : M. S. a pensé à veredus, cheval, mais Schulze a aussi Viridius, nom latin ; en tout cas, Vereda ou Virida (villa) est une formation gallo-romaine. Oucques, attesté seulement en 1206, est trop obscur pour qu’on puisse le ranger ici plutôt qu'ailleurs. Quant aux noms en -oialum, parmi lesquels se trouvent nombre d’hybrides avec radical latin, on sait que cette formation s’échelonne sur les périodes gauloise et gallo-romaine (un type Santeuil peut être gallo-romain).
Les localités qui portent un nom de rivière présentent une particularité qui, je crois, n’a pas encore été signalée. M. S. conjecture, à juste titre, que Coince, sur la vallée supérieure desséchée de la Conie, doit être en rapport avec le nom de la rivière : la Conie étant Conida en 836, ce qui postule un gallo-latin Conita, on peut suggérer un prototype Conitia, accentué sur l’o. Or il existe un autre village, sur cette rivière, qui s’appelle Conie : donc deux formations, d’époque différente. On remarquera que, dans tous les cas où nous pouvons remonter à des formes suffisamment anciennes, les noms de localités tirées du nom de la rivière à l'époque gauloise, offrent toutes un suffixe (Autricum, d'Autura ; Avaricum, d’Avara ; Nevernum, de Nevera ; Aturavum, Arrou, Eure-et-Loir, d’Atura, Yère) ou au moins une désinence (Atura, Aire, d’Atur, Adour). Les formations avec identité de nom sont d’époque postérieure ; je ne crois pas qu’il y en ait d'attestée avant l’époque mérovingienne. Ce n’est pas un hasard si Conie, rivière, apparaît en 836 et Conie, village, en 1140 ; Mayenne, rivière, au IXe siècle, Mayenne, bourg, au XIe. Dans ce cas, le nom de la localité est toujours postérieur à celui de la rivière : c’est le cas de Voise comme de Conie.
Enfin il faut bien prendre garde aux noms qui se sont conservés plus ou moins longtemps comme noms communs, et dont la fixation toponymique, malgré l'antiquité du radical, peut être tardive. Pour prendre un cas extrême, qui prétendra qu'une ferme nommée Lalouette représente un habitat gaulois, du fait qu'alauda, alouette, est un mot gaulois ? C’est pourquoi, des exemples de M. S. j'écarte les deux Pannes, bien que l'étymologie par penn-, tête, me paraisse vraisemblable mais le mot penne est resté longtemps comme nom commun (Godefroy l'enregistre dans un sens spécial) et dans le Midi il s est conservé souvent en toponymie avec l'article, présomption d'un emploi tardif comme nom commun ; en outre, l'un des deux Panne représente un écart minuscule, l'autre une ferme, ce qui ne correspond guère, en général, à des habitats gaulois. La présomption de l'article n'est d'ailleurs qu’un indice, qui n’a de valeur que si l’article se retrouve dans plusieurs exemples similaires. Il est arrivé que l'article a été ajouté après coup, par fausse analogie ou pour une autre raison : tel est le cas de Le Bardon, qui est un Baridonum du IXe siècle.
Il ne faut pas oublier, non plus, que certains toponymies gaulois représentent des étapes sur routes, comme je l’ai montré pour Voves et Allonnes, à mi-chemin entre Aulricum (Chartres) et Genabum (Orléans). Celles-ci à part, tous les noms gaulois cités par M. Soyer qui correspondent, à très peu près, avec ceux que j'ai donnés, sont situés sur la périphérie extrême de la Beauce (y compris le lieu de passage Longroi, longum ritum), sur des rivières ou dans ce que j’ai appelé les avancées d'Orléans. Le défrichement de la Beauce a commencé, à l'époque gauloise, par le Nord et le Nord-Ouest d’Orléans : la toponymie confirme sur ce point le passage précité de César.
M. Soyer a fait un relevé complet des établissements gallo-romains. Si je ne les ai pas cités dans mon texte, je les ai repérés pour la plupart, sur mes cartes de travail ; je n’ai publié que la carte des domaines, la plus caractéristique. Celle-ci établit nettement que les domaines gallo-romains ont rayonné autour des villes, se sont développés le long des cours d’eau et des grandes routes, tandis que les -ville de l'époque franque offrent une densité, au centre de la Beauce qui ne saurait être l’effet du hasard.
Les trésors enfouis à la fin du IIIe siècle et qu’a signalés Adrien Blanchet, se trouvent dans des localités le long des routes Orléans-Paris sauf pour Mérouville et Mérouvilliers, qui, ceux-ci, attestent au IIIe siècle, je le reconnais, des défrichements en profondeur.
Quant aux Mézières (macerias = ruines), témoignant de ravages probables des Barbares, ils apparaissent tous à la périphérie de la Beauce ou sur la roule Orléans-Paris, à l’exception d’une seule, dont la mention doit être une erreur : car je ne trouve aucun Mézières dans la commune de Tillay-le-Peneux, ni dans le Dictionnaire des postes, ni dans le Dictionnaire topographique d’Eure-et-Loir, ni sur la carte d'Etat-Major.
Reste la question des noms de lieux en -ville, qui apparaissent, de façon remarquable, en masses compactes, dans la Beauce centrale, dans les régions où le défrichement a été nécessairement tardif. Aucun toponymiste ne peut contester que ce sont des formations linguistiques de l'époque franque, bien qu’elles aient commencé un peu plus tôt quand le déterminant était un collectif (p. ex. Francourville et Villefrancœur, « villa » des Francs), et cela pour l'excellente raison que les Gallo-Romains ajoutaient un suffixe au nom du propriétaire, tandis que la formation par composition, avec le nom de personne, a été introduite par les Francs. Autre question est de savoir si ces créations linguistiques correspondent à de nouveaux domaines ou représentent des changements de nom, comme le croit M. S. J’estime, pour ma part, que, dans la majorité des cas, il s’agit de nouvelles fondations, attestant l'extension du défrichement. D’abord pour des raisons d'ordre général : quand des envahisseurs occupent un pays, on constate toujours que presque tous les noms de lieux préexistants sont conservés (force de la tradition, de l'habitude). D’autre part, il serait extraordinaire que la substitution n’ait eu lieu que pour les domaines occupant la Beauce centrale, les régions les plus reculées, tandis que tous les domaines en -acum conservaient leur nom autour des villes et dans les vallées. Enfin je demande la preuve archéologique. Celle-ci a été administrée, par la découverte de vestiges gallo-romains, pour certaines localités en -ville, mais pour un petit nombre seulement, et placées, presque toutes, de façon caractéristique : j’ai signalé que le seul groupe important de ces localités, qui représentent une substitution de nom, se trouve à l’extrémité Nord-Est de la Beauce. M. S. ajoute aujourd’hui quelques noms, notamment Villeneuve-sur-Conie (sur une rivière) et Villamblain (canton de Patay) témoignant qu’à la fin de l'époque gallo-romaine le défrichement des « avancées » d’Orléans allait un peu plus loin que je ne l'avais présumé. Dont acte.
Pour répondre à la question de M. S. au sujet des revendications des Barbares sur les terres (« Je ne vois rien de cela dans les documents »), je renvoie l’auteur aux documents groupés et commentés par Esmein, Histoire du droit français, éd. 1892 pp. 49 sqq. : les Wisigots et les Burgondes s’adjugèrent les deux tiers des terres, et si nous n’avons pas de témoignages aussi précis pour les Francs, tout permet de conclure que ceux-ci ne procédèrent pas autrement que les autres Germains. Le partage des terres entraînait automatiquement la création de nouveaux domaines.
Pour répondre à certaines observations de détail de M. S., la carte des voies romaines m’a été fournie par mon regretté collègue Besnier, qui était le grand spécialiste de la question. En ce qui regarde l’ordre des mots dans les noms composés, il est bien évident que la syntaxe latine offrait la possibilité des deux types « déterminant + déterminé » ou « déterminé + déterminant », et que les textes bas-latins et médiévaux ne présentent pas d'ordre rigoureux. Mais ce qui est intéressant pour la toponymie, ce n’est pas l’usage flottant des clercs, c’est l'usage parlé, qui, à part quelques exceptions (rien n’est absolu en linguistique), était nettement fixé suivant l’époque. L’usage gaulois comme l’usage germanique plaçait en tête le complément, tandis que les composés latins cristallisés en toponymie offrent l’ordre inverse (Forum Julii, Pontem Isarae, Portus Veneris... Fréjus, Pontoise, Port-Vendres... comme en Italie Forli, Porto Venere et tant d’autres). La dégermanisation de la langue a rétabli, à l’époque féodale, l’ordre du latin parlé (La Roche Guyon...). Il est bien exact qu’au début des formations en ville l’ordre latin a été parfois conservé : à Villefrancœur on peut ajouter Villemomble (le nom de Mummulus ayant disparu de bonne heure), mais l'ordre germanique l’emporta pour plusieurs siècles. — Je persiste à douter que les Boissy beaucerons représentent le buis, plante qui ne vit, à l’état sauvage, que dans les montagnes. La question est à reprendre, avec une documentation botanique. Une influence de bosc-, radical de buisson, peut être très ancienne, à moins qu’il ne s’agisse simplement d’un type bosc-êtum, parallèle à bosc-ionem.
Il y aurait encore bien des points à discuter. Ce qui précède suffira à montrer l'intérêt de la brochure. Un travail qui prête à des discussions scientifiques est toujours intéressant. »
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• Sommaires des Tomes de la Nouvelle Série du Bulletin, SOCIETE ARCHEOLOGIQUE ET HISTORIQUE DE L'ORLEANAIS (www.saho.fr/catalogue/catalogue_SAHO_07_sommaires_des_tomes_ns.pdf), Tome I, 1959, Bulletin 1, p. 2, Abbé André Nouel : « Objets pré́historiques découverts à Villamblain et à̀ Saint-Viâtre ».
• Christiane Marcilhacy, Emile Zola historien des paysans beaucerons, in : Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 12e année, N. 4, 1957. pp. 573-586. PDF consultable ci-dessous :
• Christiane Marcilhacy, L'anticléricalisme dans l'Orléanais pendant la première moitié du XIXe siècle, in : Archives de sociologie des religions. N. 6, 1958. pp. 91-103.
• Samuel Leturcq, Espace du village, terrouers des hameaux. Théories et pratiques spatiales d'une communauté paysanne en Beauce orléanaise aux XIVe et XVe siècles, Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, 37e congrès, Mulhouse, 2006. Construction de l'espace au Moyen Age : pratiques et représentations. pp. 229-241.
• Albert Babeau, La Vie rurale dans l'ancienne Beauce, Didier & Cie, Paris, 1883.
A lire en ligne
• Samuel Leturcq, Espace du village, terrouers des hameaux. Théories et pratiques spatiales d'une communauté paysanne en Beauce orléanaise aux XIVe et XVe siècles. Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, 2006, 37 pp. 229-241.
https://www.persee.fr/docAsPDF/shmes_1261-9078_2007_act_37_1_1923.pdf
• Abbé André Nouel, Les découvertes des Ages du Bronze et du Fer dans le département du Loiret, Bulletin de la Société préhistorique française, année 1963, 60-7-8 , pp. 389-395.
https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1963_num_60_7_3918?q=Villamblain
• Françoise Michaud-Fréjaville, Les vignes et vignerons d’Orléans à la fin du Moyen Âge, 2014.
https://journals.openedition.org/acrh/5990
D'autres ouvrages
- La bataille de Coulmiers, par G. Mauguin et H. Lachouque, dans Le Spectateur militaire, 15 juin 1911.
- Barrault et Bataille, Nos ancêtres les Beaucerons : histoires et racontages, Association culturelle de Saint-Denis-les-Ponts, 1992 (ISBN 2950711200 et 9782950711205).
- Paul Dauvergne, Habitation et mobilier des Tisserands beaucerons au XVIIIe siècle à Saint-Luperce (Eure et Loir), Chartres, 1938
- Jean-Claude Farcy, Les paysans beaucerons au XIXe siècle, Chartres, Société archéologique d'Eure-et-Loir, 1989 (ISBN 2905866039 et 9782905866035).
- Jean-Claude Farcy, Les paysans Beaucerons : de la fin de l'Ancien Régime au lendemain de la première guerre mondiale, Lille, Université de Lille, 1985.
- Jagu, Blum et Mourain, Dolmens et menhirs de Changé à Saint-Piat, Eure-et-Loir : témoins archéologiques des rites et pratiques funéraires des premiers agriculteurs beaucerons, Tours, Archéa, 1998 (ISBN 2912610001 et 9782912610003).
- Lucien Merlet, Poètes Beaucerons antérieurs au XIXe siècle, Chartres, imprimerie Durand, 1894.
- Bathilde Simon, Au bon temps des paysans beaucerons : au début du XXe siècle, Romorantin, CPE, 2010 (ISBN 9782845037403 et 2845037406).
- Robillard et Cotet, Au vieux pays de Beauce : les écrivains beaucerons, études biographiques et morceaux choisis annotés, Chartres, Imprimerie industrielle et commerciale, 1927.
- Roger Vaultier, Les Gentils-hommes beaucerons dans la littérature satirique, Chartres, imprimerie de la Dépêche d'Eure-et-Loir, 1933.
A consulter…
• Pour vos recherches « naissances, décès, mariages », le fonds documentaire du site de généalogie Geneanet. Ce fonds est accessible à tous :
• Le site consacré au peintre-graveur Louis-Joseph Soulas (1905-1954)
https://www.ljsoulas.fr/index.html
A voir…
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1320058n.r=beauce?rk=42918;4
• La petite exploitation agricole, Michel Adenis, réal. ; Maurice Debrune, concept. ; Jacques Besset, aut., 1964, 24 min 48. Institut pédagogique national [prod., distrib.] (Montrouge)
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1320669h.r=Beauce?rk=64378;0
• Enquête chez trois fermiers en Beauce, Marc Terzieff, réal., concept. ; Jean Pierre Muselet, aut., 1988, 13 min 45. Ministère de l'éducation nationale [prod.] (Paris)
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k13204974.r=Beauce?rk=42918;4
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